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C’est notre façon d’être qui détermine notre façon d’apprendre

Des profils mentaux ont été mis en évidence en observant le fonctionnement du cerveau dans des apprentissages scolaires.

Mais il apparaît que toute perception est traitée selon le même modèle :

  • qu’il s’agisse de mathématique, d’art, de science, de sport ou de philosophie…

  • qu’il s’agisse de relations sociales, d’amour, de découverte de Soi ou de spiritualité…

Plus amples que des profils d’apprentissage, ces fonctionnements révèlent en réalité des profils de personnalité.

Cet ouvrage propose d’affiner la compréhension de notre personnalité et d’en aimer les particularités.

C’est ce qui peut nous amener à épanouir « qui nous sommes ».

Ce quatrième livre fait suite à un précédent ouvrage

A ses débuts, le Coaching d’Etude s’est fait connaître principalement par le bouche à oreille.

Des parents d’enfants en difficulté scolaire qui avaient profité de ce Coaching partageaient l’information avec leurs pairs :

« Il existe une démarche efficace pour sortir des impasses scolaires, allez-y ! »

La démarche consiste à

  • inclure la famille dans le changement
  • présenter la référence théorique des profils d’apprentissages
  • accompagner le client à reconnaître le sien
  • installer des routines de travail qui magnifie chaque profil

Pour amplifier le bouche à oreille et faire connaître le Coaching d’Etude dans un voisinage plus large, j’ai écrit ce livre en imaginant comme «lecteur type» une lectrice :

parce que, lorsque leurs enfants sont en délicatesse avec leur vie scolaire, ce sont souvent les Mamans qui montent au front, se documentent et remuent ciel et terre pour trouver des solutions. C’est à elles que ce livre s’adresse.

Mais ceci n’exclut pas les Papas !

Et toute personne qui se sentirait concernée par

  • le bonheur d’apprendre
  • le rayonnement de la personnalité
  • la joie de la transmission

pourra certainement y trouver matière à réflexion.

Un cri du cœur 

Cet ouvrage est une réflexion fondée sur mon parcours d’enseignante de soutien pédagogique.

Les questions seront certainement familières aux autres « usagers » de ce monde professionnel si particulier et les enseignants les auront probablement résolues avec créativité.

Les étudiants, les élèves ou leurs familles découvriront peut-être les difficultés des coulisses.

Le soutien pédagogique concerne un large public : des élèves de tous âges et de tous profils peuvent avoir besoin d’aide au cours de leur scolarité, de façon occasionnelle ou chronique. Or les équipes éducatives manquent parfois de ressources pour organiser leurs pratiques.

Cependant mon souhait le plus cher est que cet ouvrage rencontre un acteur politique ou social éclairé. Qu’il inspire une réflexion sur un enseignement dans lequel le soutien pédagogique serait inutile parce qu’il ne s’agirait plus de se plier à des programmes. Que l’ultime question qui ferme le livre ouvre sur l’édification d’une Ecole qui recherche l’épanouissement de l’individu.

« Au lieu de persister dans cette pesante et si peu efficace

lutte contre l’échec scolaire

l’École ne pourrait-elle entreprendre une

construction pour la réussite scolaire ? »

Un point de vue pédagogique

La dyslexie, historiquement considérée comme un handicap, ou pour le moins un obstacle à une scolarité sereine, est pourtant fréquemment associée au génie. Qui n’a jamais rencontré Woopi Goldberg, Einstein, Walt Disney ou Léonard de Vinci cités en exemples ?

Appréciées sous l’angle pédagogique, la plupart des dyslexies peuvent être simplement envisagées comme des réponses erronées à des questions de lecture ou d’écriture du langage.

Cette réponse est bel et bien liée à un fonctionnement particulier du cerveau, mais probablement plus compétent que la norme.

Certains cerveaux jonglent spontanément et agréablement avec la 3D en ce qui concerne la réalité. En revanche, le traitement d’informations qui n’existent qu’en 2D, celles qui n’ont « pas de corps », exige de leur part un apprentissage. Par exemple la lecture des symboles, des chiffres ou des lettres.  Mais … « Qui peut le plus peut le moins ». Il est donc assez aisé de leur enseigner des méthodes qui les aident à transposer d’une dimension à l’autre.

Selon que le cerveau conçoit les idées en images, en sons ou en ressentis, les types d’erreurs varient. On connaît traditionnellement les confusions entre les d b p q. Certaines personnes ne distinguent pas nu de un, d’autres entendent trottinette et prononcent tritonette, d’autres encore produisent des erreurs « aléatoires » selon l’humeur du jour….

Il est indispensable de commencer par comprendre de quelle manière le cerveau de chacun évoque avant de pouvoir lui proposer des remédiations personnalisées et appropriées.

Débarrassez-vous des erreurs et des problèmes

. . . et profitez de vos magnifiques compétences !

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